Vu dimanche soir, je m'attendais déjà à ne pas beaucoup en retenir sur le fond. Des affaires de voyeurisme, de virilité, de syndrome du sauveur... C'est peut-être mon sixième ou septième De Palma et je dois avouer que, malgré quelques vagues connexions d'un film à l'autre, je ne cerne toujours pas le bonhomme, ce qu'il veut raconter, pourquoi il fait du cinéma. C'est peut-être simplement dû au fait que nous ne partageons pas les mêmes intérêts. Le contraire aiderait sans doute à mon appréciation.
Quoi qu'il en soit, en matière de mise en scène, c'est un roller coaster génial, et possiblement le plus abouti de son auteur. Ce n'est pas seulement que chaque plan porte une idée précise, c'est que chaque plan s'appuie sur un procédé particulier. La dernière fois que j'avais vu ça, c'était dans le Diamond Island de Davy Chou, sauf que le brave garçon n'avait pas le savoir-faire pour concrétiser proprement ses idées. Enfin bref, vécu minute par minute, Body Double était palpitant.
Vu dimanche soir, je m'attendais déjà à ne pas beaucoup en retenir sur le fond. Des affaires de voyeurisme, de virilité, de syndrome du sauveur... C'est peut-être mon sixième ou septième De Palma et je dois avouer que, malgré quelques vagues connexions d'un film à l'autre, je ne cerne toujours pas le bonhomme, ce qu'il veut raconter, pourquoi il fait du cinéma. C'est peut-être simplement dû au fait que nous ne partageons pas les mêmes intérêts. Le contraire aiderait sans doute à mon appréciation.
Quoi qu'il en soit, en matière de mise en scène, c'est un roller coaster génial, et possiblement le plus abouti de son auteur. Ce n'est pas seulement que chaque plan porte une idée précise, c'est que chaque plan s'appuie sur un procédé particulier. La dernière fois que j'avais vu ça, c'était dans le Diamond Island de Davy Chou, sauf que le brave garçon n'avait pas le savoir-faire pour concrétiser proprement ses idées. Enfin bref, vécu minute par minute, Body Double était palpitant.