Vous vous souvenez de « Sur la route », sorti quelques mois auparavant, errance soporifique à base de baise et de drogue, insulte à la Beat Generation ? « Après mai » en est la version française édulcorée. Les attitudes sont un peu plus responsables et supportables, mais on ne comprend pas qui se balade où, ni pourquoi.
Un scénariste aussi perdu que ses personnages
Vous vous souvenez de « Sur la route », sorti quelques mois auparavant, errance soporifique à base de baise et de drogue, insulte à la Beat Generation ? « Après mai » en est la version française édulcorée. Les attitudes sont un peu plus responsables et supportables, mais on ne comprend pas qui se balade où, ni pourquoi.