C'est du vent parfumé, comme la plupart des films de Fellini. De la stylisation à gogo qui vient mythifier telle ou telle pensée, sans autre regard critique qu'une ironie complaisante. Particulièrement déplorable pour son objectification baveuse des femmes.
C'est du vent parfumé, comme la plupart des films de Fellini. De la stylisation à gogo qui vient mythifier telle ou telle pensée, sans autre regard critique qu'une ironie complaisante. Particulièrement déplorable pour son objectification baveuse des femmes.