Un cinéma à la programmation art et essai correcte, sans forcément pousser beaucoup plus loin. Avant sa réouverture en 1997, la mode a longtemps été au porno. Débuts dans les années 30 sous le nom de Cinévog. Voilà-voilà.
Salle 3 pas particulièrement grande, ce qui rendait étrange le fait que l'écran soit assez fortement incurvé. Après une bande-annonce sur le volume 2 des Mille et une nuits de Gomes (heureusement que le gars méconnaît la notion d'enchaînement narratif), la séance a commencé et l'image épousait délicatement les contours de l'écran. Bref, projecteur bien réglé, place centrée, c'était fort agréable.