L'Action Écoles ouvert en 1977 est cédé en 2011 à Jean-Pierre Mocky, franc-tireur des réalisateurs français, vieil anar, vieux nanars, vil canard, détracteur universel et ami de tout le monde, paradoxe vivant et légende enterrée. C'est naturellement Mocky qui le rebaptise en un « Desperado » orgueilleux et un peu fantasmé. L'histoire du bonhomme est trop longue pour que je l'aborde ici ; si vous tenez à en apprendre avant que j'en fasse le sujet d'un autre article, vous pouvez écumer Internet ou bien fréquenter le bisalle en question, vu que des films du propriétaire-exploitant y sont régulièrement diffusés et qu'il vient même les présenter en personne de temps en temps. La programmation est complétée de plus ou moins vieux classiques qui rendent les lieux aussi intéressants que les cinés de la rue Champollion, sans pour autant égaler leur aura prestigieuse. Un léger problème de confort, d'ambiance, de sélection trop hétérogène ? Un peu tout à la fois, mais on s'en moque, parce que j'ai une histoire plus intéressante à raconter :
LA CONSPIRATION DES COMPTES FICTIFS D'ALLOCINE
Et comme j'ai écrit plus que prévu et que je suis pas mal sorti des clous de cette liste, la suite est ici.